Semaine de l’Impact

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Vous souhaitez célébrer les entreprises d’impact et les organisations à vocation sociale dans un espace dédié ? Vous souhaitez sensibiliser les gens à ce qu’elles sont, à ce qu’elles font et à la façon dont elles travaillent ? Alors participez à la Semaine de l’impact de l’Ontario, qui aura lieu du 4 au 10 novembre 2024.

La Semaine de l’impact est l’occasion de présenter les entreprises d’impact et les organisations à vocation sociale (OVS) au public et aux décideurs afin de les sensibiliser à leur rôle et à la valeur économique et sociale qu’elles apportent à nos communautés.

Buy Social Canada définit les entreprises sociales (entreprises d’impact) comme des entreprises qui vendent des biens et des services, qui intègrent un objectif social, culturel ou environnemental dans leur activité et qui réinvestissent la majorité de leurs bénéfices dans leur mission sociale. 

Le gouvernement canadien définit les OVS comme des organismes caritatifs, des organisations à but non lucratif, des entreprises sociales, des coopératives et des entreprises ayant une mission sociale.

Tous ces acteurs jouent un rôle important dans la résolution des problèmes socio-économiques et environnementaux et ont un impact significatif sur l’économie. De par leur nature, ils participent activement à l’avancement de l’Agenda 2030 des Nations unies, et de ses 17 Objectifs de développement durable (ODD). 

Nous voulons célébrer ces acteurs et mettre leurs activités en vitrine !

En 2015, l’Ontario comptait environ 10 000 entreprises sociales. Ces entreprises produisaient chacune en moyenne des revenus de 1,2 million de dollars, dont un chiffre d’affaires de près de 1 million de dollars, et ont créé chacune en moyenne 38 emplois.
Gouvernement de l’Ontario
Selon l’étude de Buy Social Canada, l'objectif principal le plus courant des entreprises sociales est l'emploi et la formation professionnelle (35 %).
On estime qu'il y aura probablement plus de 20 000 entreprises sociales en activité au Canada.
GreenShield Canada, une entreprise sociale du secteur de la santé, a déclaré un revenu annuel de 3,9 milliards de dollars canadiens en 2022.
Mythe : Les entreprises sociales ne sont pas rentables. Réalité : Les données montrent qu'un peu plus de 70 % de toutes les entreprises sociales interrogées déclarent que leur santé financière est équilibrée, voire meilleure.
Sell with Impact: Stories and Research from the Canadian Social Enterprise Sector - Buy Social Canada, 2023
La finance sociale est la pratique qui consiste à faire des investissements destinés à créer un impact social ou environnemental en plus des rendements financiers. La finance sociale est un outil qui cherche à mobiliser des capitaux privés pour le bien public.
Le Fonds de finance sociale du Canada (FFS) est une initiative de 755 millions de dollars qui vise à accélérer la croissance du marché de la finance sociale au Canada. Les grossistes investiront dans des intermédiaires de finance sociale existants ou émergents, tels que les coopératives de crédit, les fonds de prêts communautaires et les sociétés de capital-investissement. Les intermédiaires en finance sociale investiront ensuite dans une série d'OPS diversifiés. Les types d'investissements peuvent inclure des prêts, des prises de participation ou un rôle de garant (cosignature d'un accord de prêt).
Les structures juridiques utilisées pour créer une entreprise sociale varient selon les régions, les cultures et les systèmes économiques. Ces variations sont importantes car la diversité des modèles d'entreprises sociales permet une plus grande transférabilité au niveau mondial.
Social Enterprise World Forum
Dans leur étude de 2022, le British Council et Social Enterprise UK estiment qu'il existe plus de 11 millions d'entreprises sociales dans le monde.
More in common: The global state of social enterprise, June 2022, British Council and Social Enterprise UK
L’Ontario a 58 000 organisations sans but lucratif qui contribuent 65 $ milliard à l’économie.
Ontario Nonprofit Network
Selon Statistique Canada, il y a 84 000 organismes à but social (SPO) au Canada qui ne sont pas des organismes de bienfaisance enregistrés. Cette statistique ne prend en compte que les OPS constitués en société; on estime donc que le chiffre incluant les groupes et associations communautaires non incorporés est beaucoup plus grand.
Imagine Canada
Le secteur coopératif contribuait 49,2 milliards de dollars au produit intérieur brut en 2019, ce qui équivaut à 2,5 % du PIB canadien. De plus, le secteur coopératif a payé 10,4 milliards de dollars en impôts au gouvernement fédéral.
Rapport sur l’impact économique des coopératives et des mutuelles au Canada, 2022
Caisse Desjardins Ontario a versé 12,8 M$ en ristournes aux membres et à la collectivité en juin 2021.
Rapport annuel 2021
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4 - Revendiquer
Un objectif important de cette initiative est d'amener les décideurs à s'asseoir et à prendre conscience de l'impact créé par l'économie sociale, c'est pourquoi une communication directe avec les décideurs provinciaux est prévue. Le message encouragera :
a) le soutien à la promotion de solutions commerciales alternatives fournies par l'économie sociale,
b) l'augmentation des ressources financières et autres mises à la disposition des entreprises sociales, afin qu'elles soient sur un pied d'égalité avec les entreprises commerciales,
c) un environnement réglementaire favorable pour faciliter le travail du secteur de l'économie sociale.
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Paula Haapanen

807-698-0002 poste 101

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    Dans la vie professionnelle/personnelle je suis :
    le Coordonnateur – Services en immigration du centre de santé communautaire du Grand Sudbury et l’agent principal du projet de la communauté accueillante de Sudbury.
    Mon parcours personnel ou professionnel :
    Mon parcours, qu’il soit personnel ou professionnel, a été varié. Initialement actif dans le domaine de la communication, du cinéma et de la gestion de projets dans mon pays d’origine la Côte d’Ivoire, mon expérience a pris un tournant différent a dès mon arrivé au Canada en 2015. Dans les premières semaines après mon arrivée, j’ai travaillé en tant que vendeur de fournitures de bureau et d’informatique pour une grande surface, puis en tant que technicien informatique dans une université locale. J’ai ensuite occupé un poste en tant qu’agent à la clientèle pour les comptes de visa, avant de m’engager dans le domaine de l’immigration. J’ai d’abord été l’agent d’appui du projet de la communauté francophone de Sudbury, puis l’agent de développement socio-économique du réseau de soutien à l’immigration francophone dans le nord de l’Ontario. Depuis septembre 2020, je suis le coordonnateur des services en immigration au Centre de santé communautaire du Grand Sudbury.
    Pourquoi je pense qu’il est important de transmettre et comment cela participe à briser des stéréotypes et favoriser l’inclusion :
    Je suis convaincu de l’importance de transmettre ces éléments et de la manière dont cela contribue à briser des stéréotypes et à favoriser l’inclusion. Je pense que mon parcours peut servir d’inspiration pour permettre à d’autres de se projeter, car j’ai pu atteindre mes objectifs grâce à des sources d’information fiables. Tout en reconnaissant que mon parcours n’est pas parfait en lui-même et n’a pas la prétention.
    Quel stéréotype j’aimerais briser :

    Je souhaite remettre en question le stéréotype selon lequel nous devrions tout recommencer à zéro, sans tenir compte de notre expérience professionnelle dans nos pays d’origine.

    Pourquoi mon parcours est unique et quel témoignage je peux apporter :
    Comme évoqué précédemment, cette trajectoire repose sur la quête d’informations pertinentes.
    Qu’est-ce qui me passionne et que j’aimerais transmettre :
    La clé de la réussite de l’intégration réside dans la capacité à interpréter les signaux de l’information.La résolution des problèmes.
    Dans la vie professionnelle/personnelle je suis :
    Je suis coordonnatrice de liaison communautaire pour le Bureau des affaires francophones de l’U EMNO. Je m’implique également dans cinq conseils d’administration francophones : 3 locaux, 1 provincial et 1 national. J’ai très à cœur la francophonie !
    Mon parcours personnel ou professionnel :
    Je suis originaire de France. J’ai immigré au Canada en 2016 et je me suis installée à Thunder Bay dans le Nord-Ouest de l’Ontario en 2018. J’ai travaillé dans le domaine de la défense des droits de la personne, de la communication et enfin dans le milieu de la santé et de l’enseignement.
    J’aimerais apporter mon expérience, mes connaissances et mon vécu en lien avec :
    En lien avec la semaine en immigration, je voudrais partager mon expérience en tant que femme immigrante francophone en milieu minoritaire, ainsi que mes connaissances dans le processus d’immigration. De même que pour le partage de mes expériences et conseils dans l’engagement communautaire.
    Pourquoi je pense qu’il est important de transmettre et comment cela participe à briser des stéréotypes et favoriser l’inclusion :

    Partager une expérience, un vécu, une émotion permet de briser un tabou ou un non-dit, de lutter contre l’isolement des personnes qui le vivent, et de sensibiliser les autres sur cette réalité.
    Nous avons tous un parcours de vie et des histoires palpitantes à raconter qui font découvrir des perspectives différentes d’une même situation, qui sensibilisent sur les discriminations invisibles ou encore qui ouvrent les yeux sur une réalité méconnue.

    Quel stéréotype j’aimerais briser :
    Celui que les nouveaux arrivants, les immigrants ne veulent pas s’intégrer dans leurs communautés d’accueil.
    Pourquoi mon parcours est unique et quel témoignage je peux apporter :

    Je ne pense pas que mon parcours soit unique, ou du moins, je ne veux pas qu’il le soit.
    Le témoignage que je veux partager, c’est que le processus d’immigration est difficile, notre cadre de vie, notre personne et nos pratiques changent. Il est donc important d’apprendre à se redécouvrir, à redéfinir nos objectifs, à se réaliser pleinement.
    Je ne me suis pas intégrée dans ma communauté, je me suis épanouie.

    Qu’est-ce qui me passionne et que j’aimerais transmettre :
    Ce qui me passionne, c’est la défense des droits des minorités (genre, linguistiques, etc.). Ce que j’aimerais transmettre c’est comment on peut s’impliquer pour servir cette cause et faire changer les choses.
    Dans la vie professionnelle/personnelle je suis :

    une girl des médias et des communications.

    Mon parcours personnel ou professionnel :
    Mon parcours professionnel est une énigme magnifique. Je suis titulaire d’un Bac en droit privé , d’un MBA en ressources humaines et d’un DÉC en Relations publiques.
    J’aimerais apporter mon expérience, mes connaissances et mon vécu en lien avec :
    la semaine nationale de l’immigration francophone.
    Pourquoi je pense qu’il est important de transmettre et comment cela participe à briser des stéréotypes et favoriser l’inclusion :

    C’est en écoutant le cheminement/ le parcours des autres que l’on se sent inspiré. Il y a de la place pour tout le monde.

    Quel stéréotype j’aimerais briser :

    Penser que c’est impossible de vivre ces rêves .

    Pourquoi mon parcours est unique et quel témoignage je peux apporter :

    Le témoignage de l’audace qui crée des opportunités.

    Qu’est-ce qui me passionne et que j’aimerais transmettre :

    Mon expérience d’immigrante.